Les facteurs géopolitiques augmentent la volatilité, mais les actifs financiers restent très attractifs. C’est aussi le cas des obligations, malgré un taux d’intérêt bas.
Les marchés financiers hésitent entre des points négatifs et des points positifs. Ainsi, les aspects politiques et économiques pèsent sur les marchés, mais ces derniers sont quand même clairement soutenus par les banques centrales. Ces dernières ont rassuré en juin, en indiquant qu’elles soutiendraient les marchés avec une baisse des taux en Europe et aux Etats-Unis.
Les taux bas profitent aux marchés
Les taux d’intérêt sont déjà très bas, avec notamment des taux négatifs en Allemagne et en France. Toutefois, les investissements obligataires ont été extrêmement bons et ont compensé les pertes enregistrées sur les marchés actions en juin.
L’été, comme à chaque période estivale, pourrait être chahuté. Il est donc nécessaire de prendre les bénéfices sur les classes d’actifs qui ont performé, et notamment les emprunts d’État. Les banques centrales devraient continuer à soutenir les marchés. Cela devrait permettre une rentrée plus positive, surtout si les États-Unis et la Chine trouve un accord sur les négociations commerciales actuelles.
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