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Virginie choisit de soutenir l’UNICEF France avec son contrat d’assurance-vie

Article publié le 15/10/2025

Depuis toujours, Virginie investit une partie de son temps au profit d’associations. Bénévole dans sa jeunesse, elle a participé à des actions de solidarité : l’aide aux devoirs dans son quartier, la collecte de vêtements pour les plus démunis, l’organisation d’événements caritatifs visant à récolter des fonds... Aujourd’hui, à 67 ans, elle réfléchit à la manière de transmettre le fruit de son travail et de ses économies. Elle a un double objectif : protéger ses enfants et prolonger son parcours de solidarité en allant plus loin. Elle veut faire de son patrimoine un vecteur d’action et d’avenir, au service d’une cause chère à son cœur.

Virginie a déjà prévu la transmission d’une partie de son patrimoine à ses enfants

Virginie est mère de deux enfants : Julien, 38 ans, professeur de sciences économiques, et Claire, 35 ans, infirmière. Ils ont chacun bâti leur vie et ont des revenus suffisants, ils ont même investi dans la pierre. Cependant, leur mère souhaite leur garantir une sécurité supplémentaire pour l’avenir. Elle a donc prévu de leur transmettre un appartement situé à Lyon et de leur faire une donation de 100.000 euros chacun. L’impact fiscal de cette donation est nul. En effet, Virginie profite de l’abattement maximal permis par la loi française, renouvelable tous les quinze ans.

Virginie dispose aussi d’un contrat d’assurance-vie. Au départ, ses enfants figuraient seuls comme bénéficiaires (mentionnés dans la clause bénéficiaire du contrat). Cependant, Virginie a continué à réfléchir à ses différentes options et elle envisage désormais de gratifier une organisation recon-nue d’utilité publique. Elle confie son souhait à ses deux grands enfants : associer une ambition humanitaire à sa transmission. Cela lui tient à cœur. Claire et Julien, dont l’avenir matériel est assuré et la part successorale respectée, accueillent cette décision avec bienveillance. Rassurée sur ce point, Virginie peut désormais envisager plusieurs choix.

A noter : En France, les legs, donations et transmission de contrats d’assurance-vie apportent une contribution essentielle au financement des organisations reconnues d’utilité publique. En 2024, les legs, donations et transmission de contrats d’assurance-vie ont représenté 17,3 millions d'euros pour l’UNICEF France. C'est aujourd'hui sa deuxième source de financement.

Un geste fort et altruiste grâce au contrat d’assurance-vie

Virginie choisit  d’exprimer son soutien à une organisation qu’elle connaît bien : l’UNICEF France. Depuis des années, elle suit avec attention les campagnes de l’organisation en faveur de la vaccination des enfants, de l’éducation et de l’accès à l’eau potable dans les zones de crise. Elle connaît l’impact concret de chaque action sur le quotidien des enfants et sait que même un petit don peut transformer des vies. 

Virginie décide donc d’inscrire l’UNICEF France comme bénéficiaire d’une partie des fonds accumu-lés sur son contrat d’assurance-vie. Elle est fière car son engagement va prendre une nouvelle forme : le soutien financier. Il s’agit d’un acte concret : elle apporte un soutien direct à des enfants vulnérables, souvent exposés à la maladie, à la faim, éloignés du système éducatif. Une seule étape reste nécessaire pour concrétiser ce projet : modifier la clause bénéficiaire de son contrat d’assurance-vie pour y inscrire ses volontés.

A quoi servent les fonds transmis ? Transmettre un contrat d’assurance-vie dont le montant s’élève à 13.000 euros permet à l’UNICEF France d’acheter 10 tentes d’urgence*, par exemple. Celles-ci peuvent fournir un abri pour une famille ou faire office d’école temporaire ou de centre de santé. Un autre exemple ? 5.000 euros légués via un contrat d’assurance-vie permettent de vacciner 2500 enfants*.

L’UNICEF France accompagne Virginie dans les démarches pratiques de sa transmission

Virginie contacte l’UNICEF France car elle sait que l’organisation propose un accompagnement gratuit, confidentiel et sans engagement, assuré par des juristes et des notaires diplômés. Leur rôle consiste à aider toutes les personnes souhaitant s’informer sur la transmission de patrimoine. C’est une bonne surprise : elle découvre une démarche simple. Il suffit d’envoyer un courrier à son assureur pour demander la modification de la clause bénéficiaire déjà renseignée. En l’occurrence, Virginie demande l’ajout de l’UNICEF France à la liste de ses bénéficiaires actuels, Julien et Claire.
Prudente et clairvoyante, elle décide de mentionner l’UNICEF France de manière complète. Pour cela, elle inscrit la dénomination précise de l’organisation, son adresse et son statut juridique. Ainsi, elle évite toute ambiguïté. Une fois cette étape accomplie, Virginie décide de prévenir le service legs et assurance-vie de l’organisation. Elle n’est pas obligée de le faire, mais la transpa-rence la rassure. Son choix sera respecté le moment venu.

À noter : Les enfants de Virginie n’avaient pas encore accepté le bénéfice du contrat. Cela facilite la modification. Dans le cas contraire, leur accord aurait été nécessaire avant tout changement.

Transmettre par le biais d’un contrat d’assurance-vie : un choix fiscalement avantageux

Au-delà de la simplicité de la démarche, Virginie découvre que son choix présente un intérêt également sur le plan fiscal. En effet, le capital versé sur son contrat d’assurance-vie est réputé hors succession : il échappe aux règles de la réserve héréditaire et de la quotité disponible, sauf en cas de primes manifestement exagérées. De plus, lorsqu’une association reconnue d’utilité publique comme UNICEF France en est bénéficiaire, elle est exonérée de droits de succession, ce qui permet d’affecter l’intégralité des sommes transmises à ses actions.

Comment l’UNICEF utilise les legs et assurances-vie ?Les fonds issus des legs et contrats d’assurance-vie constituent une ressource essentielle pour l’UNICEF France. Chaque somme reçue est intégralement affectée à ses programmes humani-taires. Concrètement, ces fonds permettent de :

  • Financer la vaccination des enfants contre des maladies évitables,
  • Garantir l’accès à l’eau potable et à l’hygiène dans les zones de crise,
  • Favoriser la scolarisation dans des régions défavorisées,
  • Protéger les enfants victimes de violences ou de conflits.Ces moyens renforcent la capacité d’action de l’UNICEF Ces moyens renforcent la capacité d’action de l’UNICEF France, à la fois dans l’immédiat mais aussi dans la durée. Ainsi, le geste de générosité de Virginie se transformer a en un héritage vivant, capable d’apporter espoir et protection bien au-delà de sa propre vie. Elle choisit aussi d’en parler autour d’elle, car elle sait que la transmission de patrimoine s’adresse au plus grand nombre. Pour l’UNICEF  France, chaque euro confié devient une aide concrète, capable d’apporter un changement positif dans la vie des enfants vulnérables.

 

Mentions : 
*Données UNICEF  France